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]]>IMPROVE SAS se distingue comme un acteur majeur dans le secteur de la transformation des graines décortiquées et de la production de farines sur mesure. Avec une expertise de pointe et un engagement envers la qualité, cette société se positionne comme le partenaire idéal pour répondre aux besoins spécifiques de l’industrie alimentaire.
La production de graines décortiquées est l’une des spécialités d’IMPROVE SAS. Que ce soit des pois, des féveroles, des graines de tournesol ou d’autres variétés, l’entreprise excelle dans le processus de décorticage, garantissant des produits de haute qualité. Grâce à des équipements de pointe et à des procédés de traitement rigoureux, IMPROVE SAS assure une production efficiente et respectueuse des normes de sécurité alimentaire les plus strictes.
L’une des caractéristiques remarquables d’IMPROVE SAS est sa capacité à produire des farines à façon. Cette flexibilité permet aux clients de personnaliser leurs formulations en fonction de leurs besoins précis en matière de texture, de saveur et de nutrition. Que vous recherchiez une farine riche en protéines pour les produits de boulangerie ou une farine à faible teneur en matières grasses pour les produits de santé, IMPROVE SAS peut adapter ses processus pour répondre à vos spécifications uniques.
La société accorde une importance capitale à la traçabilité et à la qualité de ses produits. Elle collabore avec des agriculteurs locaux et des fournisseurs de confiance pour s’approvisionner en matières premières de haute qualité. De plus, IMPROVE SAS investit continuellement dans la recherche et le développement pour rester à la pointe de l’innovation dans le domaine de la transformation des graines et des farines.
IMPROVE SAS s’engage également en faveur de la durabilité. Elle met en place des pratiques responsables tout au long de sa chaîne d’approvisionnement et veille à minimiser son impact environnemental. De plus, l’entreprise développe des solutions pour réduire les pertes de matières premières et optimiser l’utilisation des ressources.
En conclusion, IMPROVE SAS se distingue comme un acteur incontournable dans l’industrie de la transformation des graines décortiquées et de la production de farines à façon. Son engagement envers la qualité, la personnalisation, la durabilité et l’innovation en fait le partenaire idéal pour les entreprises de l’industrie alimentaire à la recherche de produits de qualité supérieure et de solutions sur mesure. Avec IMPROVE SAS, vous avez l’assurance d’une collaboration fructueuse et de produits de qualité qui répondent à vos besoins spécifiques.
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]]>Cet article IMPROVE SAS: Your trusted partner for the generation of hulled seeds and customized flours est apparu en premier sur Improve.
]]>IMPROVE SAS stands out as a major player in hulled seed processing and custom flour production. With its cutting-edge expertise and commitment to quality, the company is the ideal partner to meet the specific needs of the food industry.
The production of hulled seeds is one of IMPROVE SAS’s specialties. Whether peas, faba beans, sunflower seeds or other varieties, the company excels in the hulling process, guaranteeing high-quality products. Thanks to state-of-the-art equipment and rigorous processing procedures, IMPROVE SAS ensures efficient production that complies with the strictest food safety standards.
One of the outstanding features of IMPROVE SAS is its ability to produce custom flours. This flexibility enables customers to tailor their formulations to their precise needs in terms of texture, flavor and nutrition. Whether you’re looking for a high-protein flour for bakery products, or a low-fat flour for health products, IMPROVE SAS can tailor its processes to meet your unique specifications.
The company places the utmost importance on the traceability and quality of its products. It works with local farmers and trusted suppliers to source high-quality raw materials. In addition, IMPROVE SAS continually invests in research and development to stay at the forefront of innovation in seed and flour processing.
IMPROVE SAS is also committed to sustainability. It implements responsible practices throughout its supply chain to minimize its environmental impact. In addition, the company develops solutions to reduce raw material losses and optimize the use of resources.
In conclusion, IMPROVE SAS stands out as a key player in the hulled seed processing and custom flour production industry. Its commitment to quality, customization, sustainability and innovation makes it the ideal partner for food industry companies looking for top-quality products and tailor-made solutions. With IMPROVE SAS, you can be sure of a fruitful collaboration and quality products that meet your specific needs.
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]]>Cet article IMPROVE SAS Atteint un Jalon Majeur : Le 10 000ème Échantillon Reçu est apparu en premier sur Improve.
]]>Cette semaine marque un moment historique pour IMPROVE SAS, car l’entreprise a officiellement reçu son 10 000ème échantillon. Cette réalisation témoigne de la confiance exceptionnelle que nos clients nous accordent depuis notre création. Que ce soit pour des analyses en laboratoire approfondies ou pour des essais à l’échelle pilote visant à extraire et concentrer des matières premières par des procédés secs ou humides, IMPROVE SAS s’est imposée comme un partenaire de confiance pour les entreprises du monde entier.
Depuis notre création, nous nous sommes engagés à fournir des solutions de pointe dans le domaine de l’analyse et du traitement des échantillons. Notre 10 000ème échantillon reçu est une preuve concrète que notre expertise, notre dévouement et notre engagement envers l’excellence ont été reconnus par nos clients. Chaque échantillon que nous recevons représente une nouvelle opportunité de répondre aux besoins uniques de nos partenaires commerciaux et de contribuer à leur succès.
L’une des raisons pour lesquelles nos clients choisissent IMPROVE SAS est notre capacité à proposer une gamme complète de services, allant de l’analyse de laboratoire précise à la réalisation d’essais à l’échelle pilote. Que ce soit pour des tests d’extraction et de concentration par des procédés secs ou humides, notre équipe d’experts hautement qualifiés est équipée pour relever les défis les plus complexes. Nous comprenons que chaque échantillon que nous recevons est précieux, et nous mettons tout en œuvre pour fournir des résultats précis et fiables dans les délais convenus.
Ce jalon de 10 000 échantillons reçus est également le reflet de la confiance que nos clients ont envers notre équipe exceptionnelle. Nous remercions chaleureusement nos clients pour leur fidélité et leur partenariat continu. Leur confiance est la pierre angulaire de notre succès, et nous sommes déterminés à maintenir ce niveau d’excellence à l’avenir.
Alors que nous célébrons cette réalisation importante, IMPROVE SAS reste résolument engagée à continuer d’innover, de croître et de servir nos clients avec les meilleurs standards de qualité. Nous attendons avec impatience les 10 000 prochains échantillons que nous aurons l’honneur de recevoir et de traiter avec le même professionnalisme et le même dévouement qui nous ont permis d’atteindre cette étape remarquable. Merci à tous nos clients, partenaires et collaborateurs pour leur soutien continu. Ensemble, nous continuerons à améliorer le futur.
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]]>Cet article IMPROVE SAS Reaches Major Milestone: 10,000th Sample Received est apparu en premier sur Improve.
]]>This week marks a historic moment for IMPROVE SAS, as the company has officially received its 10,000th sample. This achievement testifies to the exceptional trust our customers have placed in us since our inception. Whether for in-depth laboratory analysis or pilot-scale trials to extract and concentrate raw materials using dry or wet processes, IMPROVE SAS has established itself as a trusted partner for companies worldwide.
Since our foundation, we have been committed to providing cutting-edge solutions in sample analysis and processing. Our 10,000th sample received is concrete proof that our expertise, dedication and commitment to excellence have been recognized by our customers. Every sample we receive represents a new opportunity to meet the unique needs of our business partners and contribute to their success.
One of the reasons our customers choose IMPROVE SAS is our ability to offer a complete range of services, from precise laboratory analysis to pilot-scale testing. Whether for extraction and concentration tests using dry or wet processes, our team of highly qualified experts is equipped to meet the most complex challenges. We understand that every sample we receive is precious, and we make every effort to deliver accurate and reliable results within agreed timeframes.
This milestone of 10,000 samples received is also a reflection of the confidence our customers have in our exceptional team. We warmly thank our customers for their loyalty and continued partnership. Their trust is the cornerstone of our success, and we are determined to maintain this level of excellence in the future.
As we celebrate this significant achievement, IMPROVE SAS remains resolutely committed to continuing to innovate, grow and serve our customers with the highest standards of quality. We look forward to the next 10,000 samples, which we will be honored to receive and process with the same professionalism and dedication that have enabled us to reach this remarkable milestone. Thank you to all our customers, partners and collaborators for their continued support. Together, we’ll continue to improve the future.
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]]>Cet article Foodtech : les protéines alternatives, un marché prometteur, mais qui a fortement besoin de financements est apparu en premier sur Improve.
]]>EY Fabernovel vient de réaliser une étude sur le marché prometteur des protéines alternatives dans le monde…
Un secteur qui séduit les investisseurs et les grands groupes, mais qui est confronté à de nombreux défis, notamment dans l’accès aux financements.
« Notre système alimentaire va devoir évoluer considérablement dans les années à venir. Il ne s’agit pas seulement de produire plus, mais de mieux s’alimenter », explique Nicolas Cabanes, analyste chez EY Fabernovel, qui a réalisé l’étude. Et de citer quelques chiffres : en 2050, il faudra produire 56 % de nourriture en plus (par rapport à 2010) pour nourrir 9,7 milliards d’habitants, un tiers des émissions de gaz à effet de serre sont liées à notre alimentation, ou encore 20 variétés de plantes constituent 90 % de celles que nous mangeons…
En particulier, la production de protéines animales représente une cause importante de la pression humaine sur la biodiversité. « La viande d’élevage représenterait entre 11 et 19 % des émissions de gaz à effet de serre au niveau mondial. 75 % de nos terres agricoles sont utilisées pour l’élevage alors que les produits d’élevage ne représentent que 18 % de notre apport total en protéines », souligne l’analyste.
Dans ce contexte, les protéines alternatives représentent une opportunité de décarboner l’alimentation, tout en limitant les pressions générées par la production agricole sur les écosystèmes. La fondation Solar Impulse propose une définition pour ce nouveau type d’alimentation : « des produits protéiques alternatifs qui reproduisent l’expérience sensorielle et les avantages nutritionnels de la consommation d’aliments d’origine animale. ».
En somme, il s’agit de tous les produits qui imitent le goût, la texture et les valeurs nutritionnelles des produits laitiers, des œufs, de la viande, le poisson et des fruits de mer, dans le but de manger de façon plus saine et moins polluante, sans intervention animale (à l’exception des insectes).
Ces protéines alternatives peuvent être classées en quatre grandes catégories : les alternatives végétales (légumes, légumineuses, noix et graines, algues, champignons, etc.), les protéines issues de la fermentation, les protéines de culture et les insectes.
« Ces protéines sont pour beaucoup nos meilleures armes pour décarboner notre alimentation. Plusieurs études montrent que par dollar investi, c’est un investissement qui nous permet d’avoir le meilleur rapport sur investissement en termes de réduction de CO2 », explique Nicolas Cabanes, qui évoque aussi les intérêts en termes d’occupation des sols et d’utilisation des ressources en eau.
« Si le marché des protéines alternatives représentait 11 % du total des protéines en 2035, cela signifierait une réduction d’environ 0,85 gigatonnes équivalent CO2, soit l’équivalent de 95 % des émissions du secteur aérien sur une année », ajoute-t-il.
Naturellement, ce sujet intéresse les investisseurs et les grands groupes : les investissements mondiaux pour les protéines alternatives (“plant-based”, “cell-based” et fermentation) ont été multipliés par 7.8 entre 2017 et 2022. Si en 2013, le marché nord-américain représentait 99 % des investissements en protéines alternatives, la situation a aujourd’hui fortement évolué, plaçant l’Europe en seconde position, avec 21 % des investissements, selon GFI. En France, le groupe Bel a récemment annoncé plusieurs partenariats avec des acteurs de ce secteur prometteur.
Les startups emblématiques du secteur restent néanmoins américaines, à l’exception du suédois Oatly (désormais cotée en bourse) et du français Ynsect (580 millions levés) : il s’agit d’Impossible Foods (1,9 milliards de dollars levés), Perfect Day (710 millions), Upside Foods (598 millions), Just (525 millions), Meati (275 millions), ainsi que de Beyond Meat et Benson Hill qui sont cotées en bourses.
Le marché le plus avancé d’un point de vue commercial reste celui du “plant-based” : en 2022, ce segment a généré 21,6 milliards de dollars de ventes dans le monde avec des alternatives à la viande, aux fruits de mer, au lait, au fromage et au yaourt à base de plantes, soit + 7 % en valeur par rapport à 2021. Le segment de la fermentation est, lui, plus émergent, mais il commence à attirer les investisseurs : 827 milliards de dollars y ont été investis en 2022.
Malgré les importants montants levés, ces startups peinent encore à s’imposer chez les consommateurs, car elles doivent relever de nombreux défis, sociaux, réglementaires ou économiques… « Pour garantir une adoption sur long terme, une triple parité doit être atteinte : parité de goût, parité de texture, parité de prix à minima », souligne en particulier Nicolas Cabanes.
« Le prix souvent élevé de ces produits est un frein pour le consommateur, encore plus dans un contexte inflationniste », explique l’étude d’EY Fabernovel, qui observe que ces produits sont entre 67 % et 122 % plus chers que leurs équivalents animaux. Mais sur ce point les choses pourraient changer rapidement, grâce à un effet ciseau : « le coup des protéines animales va augmenter dans les années à venir, c’est une évidence. La viande a pris 30 % en un an et demi en France, par exemple. Et les coûts de production des protéines alternatives vont diminuer », prédit l’analyste.
Pour autant, les besoins de financement pour augmenter les capacités de production sont considérables : 27 milliards de dollars seraient nécessaires pour que le marché des alternatives à la viande atteigne 6 % du marché global de la viande…
Or, dans un environnement économique tendu pour les startups, les investissements liés aux protéines alternatives dans le monde ont été réduits de 41 % entre 2021 et 2022. Nicolas Cabanes résume la situation : « le contexte d’investissement est difficile, comme pour tout le monde : cela ralentit les possibilités et les moyens donnés à ces acteurs. Pour faire simple, on leur demande plus en moins de temps, avec de vrais enjeux sur la diminution des coûts de production. »
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]]>Intégrer du pois dans sa rotation pour l’incorporer à la ration des vaches ensuite est en phase avec l’ambition d’autonomie protéique du territoire, mais il ne faut pas oublier l’aspect rentabilité face aux cultures de vente. (©Terre-net Média)
On parle beaucoup d’autonomie alimentaire par les fourrages mais quid des concentrés pour faire du lait ? Sans forcément remplacer la totalité des aliments du commerce, la graine de pois peut être intéressante pour réduire les coûts alimentaires sans dégrader les performances. Explications de Jérôme Larcelet, nutritionniste chez Seenorest.
La graine de pois c’est 45 % d’amidon et 20 % de protéines : « c’est un aliment équilibré qui peut répondre à une problématique d’énergie mais aussi de protéines dans une ration vaches laitières », présentait Jérôme Larcelet, conseiller spécialisé en nutrition pour Seenorest, à l’occasion d’une conférence organisée au salon de l’herbe dans les Vosges.
Si l’on peut avoir en tête des facteurs anti nutritionnels pour le pois, il faut savoir qu’un gros travail a été fait sur les variétés d’aujourd’hui donc il n’y plus trop ce problème. Le pois est seulement riche en tanins mais cela n’est pas gênant en bovins.
Lui qui suit des élevages de la Meuse, la Meurthe-et-Moselle, et les Vosges, il se veut encourageant : « Le Grand Est est la première région productrice de pois protéagineux. C’est une culture qui s’intègre bien dans les rotations (en pure ou en association d’ailleurs — le mélange triticale/pois étant fortement utilisé en bio), c’est un très bon précédent blé et colza. Malheureusement, les débouchés diminuent depuis quelques années, mais si un éleveur y voit un intérêt dans sa rotation et pour nourrir son troupeau, c’est tout bénéfique ! »
Des valeurs alimentaires entre le tourteau de colza, le blé et le maïs
« On est à 20 points de MAT par kg brut et 1 UFL. Et avec une teneur en amidon plus faible que le blé, ça en fait un très bon complément pour les veaux non sevrés : la graine, distribuée entière et à volonté avec un complément minéral, est très appétente. Pour les génisses, il faudra broyer la graine grossièrement et la distribuer avec un complément minéral ».
Pour les vaches laitières, le pois est un bon aliment de production : « il équivaut à une VL 3 litres et il est assez appètent pour passer au robot ou au Dac ». En complément, le pois est riche en lysine (un acide aminé essentiel pour les ruminants), ce qui fait de lui un bon complément au tourteau de colza (qui lui est riche en méthionine). Son seul bémol : 130 g de matière azotée soluble, c’est un peu trop, d’où l’importance de ne pas broyer la graine trop finement pour ne pas rendre l’azote encore plus dégradable.
Du côté du stockage, pas de souci particulier : la graine se stocke bien si l’humidité ne dépasse pas les 15 % à la récolte. « Le pois n’a que très peu de mycotoxines, et n’est pas trop soumis aux insectes, le seul risque se situe autour des larves de bruche », prévient l’expert.
Quid du toastage ?
On parle beaucoup de toastage de protéagineux ces derniers temps. Pour le pois, les avis divergent. Jérôme Larcelet rappelle : « Les intérêts du toastage sont de détruire les facteurs antinutritionnels, de diminuer la dégradabilité de l’azote dans le rumen, d’augmenter les PDIA et d’améliorer la conservation. Mais ces intérêts ne se retrouvent pas forcément dans les performances des animaux… »
Alors, toaster ou pas, telle est la question… « Il faut regarder l’économie : le pois est actuellement autour des 265 €/t (480 €/t en AB), ça monte à 335 €/t avec le toastage. En termes de correspondance, on est pour 1 kg de pois toasté à 0,6 kg blé + 0,4 kg tourteau de colza tanné, ce qui fait environ 310 €/t donc ça ne vaut pas le coup. Par contre face à une VL à 20 % de MAT (environ 460 €/t), ça peut être intéressant. » C’est d’autant plus vrai en bio où le prix de l’aliment de production est très cher.
Raisonner à l’échelle du territoire plutôt qu’à l’exploitation
Intégrer du pois dans la ration de ses vaches ne veut pas pour autant dire remplacer 100 % du tourteau car cette solution revient forcément à diminuer les surfaces de cultures de vente et donc altérer les résultats économiques de l’exploitation. « Il faut trouver un équilibre et l’intégrer de façon raisonnée dans la rotation, tempère le conseiller. Même si les nouvelles mesures Pac encouragent ce type de culture, il peut être dans certains cas plus intéressant d’acheter du pois plutôt que de retirer du blé de sa surface. »
Pour Jérôme Larcelet, l’intérêt du pois se raisonne plutôt à l’échelle globale : « Quand on parle d’autonomie, il faut voir ça à l’échelle du territoire et pas seulement de son exploitation. » Il insiste : « Un éleveur pourrait par exemple racheter le pois à un céréalier qui l’intègre pour ses avantages agronomiques. » Ce sont des partenariats gagnants/gagnants à trouver…
Source : https://www.web-agri.fr/concentres/article/841229/des-pois-dans-la-ration-des-vaches-pour-allier-performance-et-maitrise-des-couts
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]]>Une entreprise industrielle, commerciale ou agricole basé en France, peut bénéficier du CIR, acronyme pour Crédit d’Impôt Recherche. Le but c’est d’encourager les entreprises à engager des activités de recherche et développement (R&D), bonne nouvelle Improve bénéficie de cet agrément. Un taux pouvant aller jusqu’à 30%, profitez-en ! Vous souhaitez en savoir plus sur IMPROVE ici.
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]]>Ce choix pour nous est une évidence, c’est satisfaire nos clients selon leurs cahiers des charges, notamment assurer la qualité des productions de décorticage et de broyage.
Plusieurs points ont été audités :
– Les formalités administratives (Offre commerciale, Bon de livraison, Certificat des matières premières, Facture).
– Marche en avant du produit (Réception, Stockage, Procédé, Expédition).
– Le plan de lutte contre les nuisibles (Dératisation, Désinsectisation).
– Les bonnes pratiques de production.
Une question à ce sujet ? N’hésitez pas à nous contacter.
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]]>For us, this choice is a matter of course, as it means satisfying our customers according to their specifications, and in particular ensuring the quality of our dehulling and milling operations.
Several points were audited:
– Administrative formalities (Commercial offer, Delivery note, Raw materials certificate, Invoice).
– Product progress (Reception, Storage, Process, Dispatch).
– Pest control plan (Deratting, Insect control).
– Good production practices.
Do you have a question? Please do not hesitate to contact us.
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